Nez en Herbe, une association visant à intégrer l’éveil olfactif dans les programmes éducatifs, dès la crèche et l’école maternelle
Notre dépliant informatif 4 pages est disponible ICI en pdf:
PRÉSENTATION DE L’ASSOCIATION
La création de Nez en Herbe a été publiée du Journal Officiel du 11 avril 2017.
W 751239107 SIRET 88935901400012
Statuts actualisés par le Conseil d’administration du 26/11/2022.
L’association a pour but d’intégrer l’éveil olfactif dans les programmes éducatifs, en promouvant l’éveil de l’odorat dès la crèche et l’école maternelle.
Faire travailler notre odorat, pour le rendre performant, pourrait être particulièrement important dès notre plus tendre enfance.
Comme Annick Le Guérer le souligne dans ses ouvrages, l’odorat a connu en Occident une longue phase de dépréciation avant de devenir, depuis une vingtaine d’années, un sens «à la mode», privilégiant l’émotion, la spontanéité, l’individualité, le plaisir, voire favorisant la santé.
En parallèle, les recherches scientifiques ont été relancées par la découverte des récepteurs olfactifs en 1991 (Prix Nobel en 2004).
Comme les autres sens, l’odorat permet de découvrir le monde et d’exercer la curiosité. Mais à la différence de ceux-là, étant relié directement aux centres cérébraux de l’émotion et de la mémoire, c’est aussi un moyen de se connaître soi-même.
Nous ambitionnons de préparer
nos enfants à une approche olfactive
consciente du monde actuel et futur.
A travers les quatre exemples suivants, nous pensons que l’éducation olfactive précoce peut profiter à la fois aux individus et à la société.
Intégrer l’éveil olfactif pour favoriser le développement cognitif et les apprentissages.
Rendre les futurs consommateurs conscients des messages odorants et gustatifs pour favoriser la diversité et la qualité de l’alimentation en vue de la santé, du bien-être et du plaisir.
Parce que la recherche progresse sur le diagnostic olfactif des maladies et sur l’effet des odorants sur l’état psycho-physiologique : préparer le terrain à la médecine et au bien-être du futur.
Parce qu’à toute culture il faut un éveil : ouvrir la voie à de nouveaux plaisirs esthétiques.